German Expellee Organizations between “Homeland” and “At Home”: A Case Study of the Politics of Belonging

Auteurs-es

  • Stefan Wolff University of Bath

DOI :

https://doi.org/10.25071/1920-7336.21247

Mots-clés :

Germany, expellees, politics, activism, homeland, belonging, ethnic ownership, integration, forced migration

Résumé

Depuis l’expulsion de plus de 10 millions de personnes d’ethnie allemande d’Europe Centrale et d’Europe de l’Est après la fin de la deuxième Guerre mondiale, les organisations politiques et culturelles des expulsés ont milité en faveur de cette section de la population de la République Fédérale. L’article examine comment les activistes appartenant aux organisations des expulsés ont profité de l’ambiguïté entourant les concepts de patrie et d’appartenance dans le cadre des processus politiques en Allemagne et, de plus en plus, dans le reste de l’Europe, pour faire avancer un agenda politique qui, même s’il a connu des changements majeurs, reste toujours extrêmement problématique par rapport à certains de ses objectifs et plusieurs de ses implications.

Statistiques

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Publié-e

2001-11-01

Comment citer

Wolff, S. (2001). German Expellee Organizations between “Homeland” and “At Home”: A Case Study of the Politics of Belonging. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 20(1), 52–64. https://doi.org/10.25071/1920-7336.21247