Interception and Asylum: When Migration Control and Human Rights Collide
DOI :
https://doi.org/10.25071/1920-7336.21305Mots-clés :
interception, irregular migration, asylum, refugee protection, law, human rightsRésumé
Soucieux de pouvoir contrôler complètement l’accès à leur territoire, les états consacrent de plus en plus de ressources et d’efforts à intercepter et à renvoyer les migrants avant même que ces derniers n’atteignent leurs frontières. Dans la réalité, cependant, il est très rare que les mesures d’interception comportent des procédures adéquates pour départager ceux qui ont un besoin réel de protection des autres. Il en résulte que les gens désespérés n’ont d’autre choix que d’avoir recours à des méthodes de migration qui sont de plus en plus dangereuses et disruptives. Cet article examine les principales mesures d’interception et leur efficacité, et se penche sur les problèmes soulevés par ces pratiques au niveau du droit humain international et du droit d’asile. Il examine ensuite les derniers développements intervenus au Comité exécutif de la HCR sur la question de l’interception, et conclut avec des suggestions visant à encourager la mise en conformité des mesures d’interception avec les principes de la protection des réfugiés.Statistiques
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© Andrew Brouwer, Judith Kumin 2003
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