Contested Belonging: Temporary Protection in Australia

Auteurs-es

  • Louise Humpage RMIT University, Melbourne
  • Greg Marston University of Queensland

DOI :

https://doi.org/10.25071/1920-7336.21332

Mots-clés :

Australia, refugees, integration, limbo, social belonging, public discourse, temporary protection visa

Résumé

Cet article fait appel à une différence analytique entre trois modes d’appartenance sociale pour expliquer l’expérience ambiguë de la réinstallation vécue par les réfugiés qui obtiennent un TPV (« visa de protection temporaire ») en Australie. Les conclusions de deux études qualitatives indiquent que la dominance d’un discours publique représentant les demandeurs d’asile comme des « clandestins », bloque leur sens d’appartenance au niveau national. Au niveau local cependant, l’appartenance a été facilitée à travers des réseaux de relations à l’intérieur des communautés et l’établissement d’associations basées sur les catégories culturelles ou légales. Ce qui importe encore plus c’est que ces succès ont fourni une base à partir de laquelle il est maintenant possible de contester le manque de reconnaissance confrontant les réfugiés TPV dans l’environnement crée par un discours publique nationaliste.

Statistiques

Chargement des statistiques…

Publié-e

2005-09-01

Comment citer

Humpage, L., & Marston, G. (2005). Contested Belonging: Temporary Protection in Australia. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 22(2), 67–76. https://doi.org/10.25071/1920-7336.21332