Invisible Lives: Gender, Dispossession, and Precarity amongst Syrian Refugee Women in the Middle East

Auteurs-es

  • Nergis Canefe York University

DOI :

https://doi.org/10.7202/1050853ar

Mots-clés :

Turkey, Middle East, Syrian refugees, refugee women, gender, dispossession, precarity, forced labour, human trafficking, forced migration, political economy of crisis

Résumé

Cet article concerne les connexions entre les régimes de travail néo-libéraux et néo-développementistes, la gestion de l’asile et de l’immigration, et l’exploitation de femmes migrantes, réfugiées, sans papiers, à partir du vécu de réfugiées syriennes en Turquie. Le concept de précarité est exploré en tant que stratégie appliquée de manière sélective par les états aux personnes qui n’ont « pas de statut » ou ne peuvent pas bénéficier de «droits d’appartenance ». Les migrants forcés, les migrants illégaux et les demandeurs d’asile sont directement concernés par des expériences de travail fortement précaire au plus bas des marchés du travail sur l’ensemble des pays du Sud, et deviennent alors prisonnier du travail forcé et du trafic d’êtres humains. L’article établit un lien entre des formes extrêmes d’exploitation des migrants au travail dans des contextes de vie précaires et un profilage des opportunités de vie en fonction du genre.

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Publié-e

2018-06-18

Comment citer

Canefe, N. (2018). Invisible Lives: Gender, Dispossession, and Precarity amongst Syrian Refugee Women in the Middle East. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 34(1), 39–49. https://doi.org/10.7202/1050853ar
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