Arrested Development? UNHCR, ILO, and the Refugees’ Right to Work

Auteurs-es

  • Adèle Garnier Université de Montréal

DOI :

https://doi.org/10.25071/1920-7336.39615

Mots-clés :

United Nations High Commissioner for Refugees, UNHCR, International Labour Organization, ILO, forced migration, governance, inter-agency cooperation, international organizations, power dynamics, bureaucratic pathologies, right to work

Résumé

Cet article contribue aux études des relations de pouvoir dans la gouvernance mondiale des migrations. S’inspirant des travaux de Barnett et Finnemore sur la culture bureaucratique des organisations internationales, il analyse la coopération, lors des deux dernières décennies, entre le Haut-Commissariat aux Réfugiés des Nations Unies et l’Organisation Internationale du Travail en matière de promotion du droit au travail des réfugiés. Le mandat et les activités des deux organisations semblent faire preuve de complémentarité dans la promotion de ce droit. Cependant, des contraintes pratiques liées aux intérêts divergents des États, des différences de structure institutionnelle au sein des deux organisations ainsi que les ambivalences de leur discours sur le réfugié travailleur limitent la coordination et l’efficacité entre les deux organisations.

Statistiques

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Publié-e

2014-11-19

Comment citer

Garnier, A. (2014). Arrested Development? UNHCR, ILO, and the Refugees’ Right to Work. Refuge : Revue Canadienne Sur Les réfugiés , 30(2), 15–25. https://doi.org/10.25071/1920-7336.39615

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